Le Foyer Films, altamar films et FUSEE sont heureux d’annoncer le tournage du film Une splendeur de vivre, premier long-métrage de la cinéaste Marianne Métivier. Débuté depuis le 5 août 2024, le tournage se poursuit jusqu’au 7 septembre 2024 à Morin-Heights, Oka et dans Côte-des-neiges à Montréal. Quelques jours de tournage sont prévus aux Philippines, en novembre.

La production entre le Québec, la France et les Philippines Une splendeur de vivre est scénarisé par Marianne Métivier. Le film met en vedette une distribution internationale composée des actrices françaises Camille Rutherford (Anatomie d’une chute), Garance Marillier (Grave), des artistes québécois Victor Trelles Turgeon, Émile Schneider et Amaryllis Tremblay, ainsi que des artistes philippins Kyrie Samodio, Sue Prado et Enchong Dee.

Synopsis

Évoluant en deux trames narratives, à la campagne et en ville, quatre personnages féminins sont transformés par une rencontre et choisissent de clore ou d’ouvrir un nouveau cycle de leur vie. Une splendeur de vivre est une invitation sensuelle à vivre pleinement.

Ariel Méthot assure la direction photo, Alex Hercule Desjardins la direction artistique. La conception des costumes a été confiée à Constance Chamberland, la coiffure et le maquillage à Camille Sabbagh Bourret, le son à Laurent Ouellette et Ilyaa Ghafouri, le montage à Myriam Magassouba. Sélectionné lors de son développement au TIFF Filmmaker Lab et au Torino Feature Lab, Une splendeur de vivre sera distribué au Canada par H264. Le film est financé par la SODEC, Téléfilm Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec.

Marianne Métivier est une scénariste et réalisatrice québécoise-philippine de Tiohtià:ke/Montréal. Son court métrage, Celle qui porte la pluie (2019) est notamment sélectionné en compétition officielle à la Berlinale en 2020. Marianne développe actuellement son premier long métrage documentaire Back Home pour lequel elle reçoit une bourse de développement lors du Talent Lab des Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal (2020). Son travail explore principalement la notion d’identité, d’appartenance aux lieux et notre rapport à l’intangible.