Alexandra Stréliski dévoile la pièce Umbra, disponible dès maintenant sur toutes les plateformes digitales. Cette nouvelle offrande fait partie de l’album digital Néo-Romance (Version prolongée), également disponible, qui comprend les deux nouveaux titres de la pianiste : Prelude in Lodz, ainsi qu’Umbra.
Le public est sûrement familier avec cette pièce de près de cinq minutes avec laquelle Alexandra clôture son concert. Umbra est une de mes pièces préférées à jouer en concert. Elle a commencé à vivre comme finale de mon spectacle, au piano solo, et s’est tranquillement transformée en trip collectif, basée sur des improvisations. affirme Stréliski. J’ai tellement de plaisir à la jouer avec mes musiciennes Natalia et Julia Kotarba et avec Maxime Navert, mon allié depuis plus de quinze ans, aux synthétiseurs.
Le mot Umbra fait référence au point le plus sombre de la noirceur, mais cette pièce a été créée pour essayer d’y faire entrer de la lumière! conclut Alexandra.
La pièce est accompagnée d’un vidéoclip réalisé par Nick Helderman, filmé à La Marbreri, à Montreuil, en France, capturant Stréliski entourée de ses musicien.es. Un clip d'une intensité équivalente à la chanson, gagnant progressivement en puissance.
Alexandra Stréliski dévoile «Prelude in Lodz», une toute nouvelle pièce inédite, disponible dès maintenant sur toutes les plateformes digitales. Cette nouvelle offrande fait partie de l’album digital Néo-Romance (Version prolongée), qui parait le 3 novembre 2023.
«La chanson "Prelude in Lodz" est un appel au souvenir. Elle fait écho au nom de mon piano d’enfance (Lodz) et à la région d’où provient mon nom de famille. Elle a été enregistrée à Paris, non retouché en studio et jouée d’un trait par la merveilleuse Julia Kotarba et moi-même.» – Alexandra Stréliski
Deux nouvelles pièces viennent s’ajouter sur la version prolongée de Néo-Romance. Elles ont été écrites à des moments différents du processus de l’album et servent de fil conducteur au projet dans son ensemble. «Prelude In Lodz» fut composé il y a trois ans, au tout début des sessions d'écriture du disque, tandis qu’«Umbra» conclut l’opus, terminé après que la majeure partie de Néo-Romance ait déjà été enregistrée.
Il est impossible de passer sous silence le succès retentissant du troisième album d'Alexandra Stréliski depuis son lancement en mars 2023. Néo-Romance a récolté plusieurs éloges se retrouvant sur la longue liste du Prix de musique Polaris cette année, et parmi les albums les plus nommés à l’ADISQ avec six nominations, dont Artiste féminine de l’année, Autrice-compositrice de l’année et Succès populaire de l’année, en plus d’avoir performé devant maintes salles combles à travers le Québec depuis le printemps 2023.
Néo-Romance, le nouvel album d’Alexandra Stréliski est enfin disponible partout au Canada via Secret City Records. «Néo-Romance est une série de petites histoires à propos d’ouvrir son cœur. Un hommage à l'amour et à l'imaginaire», nous raconte Alexandra.
«Parce qu'il faut continuer à espérer, aimer et rêver
Échapper à notre douleur
Notre solitude
Notre ville
Accepter notre fragilité
Surmonter le désenchantement en l'imaginant autrement.
En le transformant.
Quand le morbide rencontre le sublime
Il faut continuer à espérer, aimer et rêver.»
Néo-Romance est #1 des ventes iTunes tous genres confondus ce matin au Canada, ainsi que #1 des ventes iTunes Classique au Canada et en France, #2 aux États-Unis et #6 en Allemagne.
La compositrice était de passage à Tout le monde en parle où Guy A. Lepage a souligné que «sa musique est à la fois lumineuse et mélancolique», tandis que l’acteur et animateur Patrice Bélanger a déclaré son amour à ses compositions : «C'est la beauté de ce que fait Alexandra, ça s'écoute partout, tout le temps que tu sois dans n'importe quelle émotion, tu plonges dans son univers et elle t'amène avec elle». Alors que les pièces Élégie et Borders se sont retrouvées au numéro un des ventes des chansons au Québec plusieurs semaines avant la sortie de l’album, les quatre extraits figuraient au sommet des ventes de chansons classiques d'iTunes Canada ces derniers jours (Élégie #1, Lumières #2, The Hills #3, Borders #4) dominant le Top 5. Le Journal Metro a déclaré à propos de Néo-Romance «Des ponts, sa musique empreinte de sensibilité continue d’en bâtir. Et elle continue de nous faire rêver.»
Avec cette sortie attendue, Alexandra annonce également une grande tournée à travers la province en 2023 et 2024. Plus d’une quarantaine de dates sont inscrites au calendrier pour supporter l’album, et ce, dans les quatre coins du Québec! La mise en scène du spectacle Néo-Romance est une fois de plus signée par Cirque Le Roux, la même compagnie française qui avait signé la scénographie du concert Inscape.
Finalement, Alexandra dévoile un vidéoclip pour la pièce «The Breach». Cette composition est «un grand élan de déconfinement, fébrile et puissant, comme la force que ça prend pour réouvrir son coeur après un grand bouleversement», nous partage Alexandra. Réalisé par Laurence Baz Morais. «La performance d’Alexandra aux Îles-de-la-Madeleine démontrait la capacité de la musique de transcender le temps et l’espace», raconte Baz. «C’était un privilège de pouvoir immortaliser un si beau moment et de le partager avec le monde.»
La musique d’Alexandra Stréliski, c’est plus de trois cent trente millions d’écoutes en continu à travers le monde. Inscape, c’est plus de cent soixante-huit mille albums vendus et écoutés au Canada seulement, une certification double platine, cinq Félix en carrière et un prix JUNO (Album instrumental de l’année). C’est aussi l’un des trois meilleurs vendeurs de l’année 2019 et 2020 au Québec, récipiendaire de l’album de l’année au Independent Music Awards et nommé sur la longue liste du prestigieux Prix de Musique Polaris 2019. Ses pièces ont été entendues dans Sharp Objects et la table ronde de Big Little Lies Season 2 de HBO, ainsi qu’au défilé d’Hugo Boss au New York Fashion Week. L’album a grimpé sur les palmarès de ventes de musique classique dans plus de vingt pays à travers le monde. Le spectacle Inscape a reçu un billet d’argent de l’ADISQ et a vendu plus de quarante mille billets à travers la province. Pianoscope - le premier opus de Stréliski est certifié or au Canada et ses pièces ont été entendues dans Dallas Buyers Club, Demolition et à la cérémonie des Oscars en 2014.
Billboard a décrit Stréliski comme l’une des plus importantes nouvelles vedettes du classique moderne et Noisey a déclaré que sa musique est un contraste de profondeur et de fragilité qui ressemble étrangement à la condition humaine elle-même.
Alexandra Stréliski dévoile un quatrième extrait intitulé Lumières, tiré de son album à paraître Néo-Romance, disponible partout le 31 mars 2023 via Secret City Records au Canada et XXIM Records dans le reste du monde. Pour Alexandra, Lumières est une pièce fantaisiste qui raconte une histoire. Elle s’inspire du siècle des Lumières où les convives se réunissaient dans les salons français pour discuter de grandes (et de moins grandes) idées.
Cet extrait donne suite aux trois premières chansons sorties récemment : The Hills, une pièce qui parle des aléas de notre condition humaine, selon Alexandra, ainsi qu’Élégie, un dernier adieu a quelqu'un qu'on aimait, et Borders, un souhait d’unité dans un monde de plus en plus divisé. Les pièces Élégie et Borders se sont retrouvées au numéro 1 des ventes des chansons au Québec.
Alexandra Stréliski dévoile un troisième extrait intitulé Borders, tiré de son album à paraître Néo-Romance, disponible partout le 31 mars 2023 via Secret City Records au Canada et XXIM Records dans le reste du monde. L’album est disponible dès maintenant en précommande en format CD et vinyle. Pour Alexandra, Borders est un hymne à la tolérance, un souhait d’unité dans un monde de plus en plus divisé.
Pour Néo-Romance, la pianiste et compositrice Alexandra Stréliski s’est posé une question. Fascinée par le romantisme, les romantiques et leur relation «super sombre» avec la nature, elle s’est demandé ce que tout cela signifiait dans ce monde moderne que nous avons créé. «Le passé, la liberté sans restriction, le dévouement à la beauté — tous ces grands thèmes romantiques, mais exprimés de façon post-moderne», explique-t-elle. «Comment peut-on demeurer dans cet imaginaire malgré l’époque de peur et de désillusion dans laquelle on vit? C’est la prémisse et le contexte de l’album.»
Le sujet abordé dans Néo-Romance n’était pas la seule différence avec le modus operandi habituel de Stréliski. Cette dernière souhaitait prendre ses distances avec le mouvement néo-classique auquel elle était associée depuis longtemps, considérant que cela ne reflétait pas exactement son œuvre. L’expression individuelle en dépit des contraintes de la tradition, une idée prisée par les romantiques, l’a inspirée à suivre son instinct et à s’efforcer de capturer et transmettre des émotions à travers son art. «Je suis vraiment une romantique, dans le sens où j’exprime mon monde intérieur afin de mieux comprendre le monde qui m’entoure», confie-t-elle. «Alors, je me concentre sur l’idée du néo-romantisme musicalement, mais aussi en tant que forme de méditation.»
Alexandra Stréliski annonce Néo-Romance, l’album tant attendu qui donne suite à l’immense succès d’Inscape, disponible partout le 31 mars 2023 via Secret City Records au Canada et XXIM Records dans le reste du monde. L’album est disponible dès maintenant en précommande en format CD et vinyle. La compositrice dévoile également un deuxième extrait suivant «The hills» sorti en novembre 2022, la pièce «Élégie». «Élégie, c'est un dernier adieu à quelqu'un qu'on aimait» nous explique Alexandra. «C'est une chanson triste remplie d'amour pur. Une ode à faire face à votre vulnérabilité lorsque les choses tremblent dans votre vie. Un hommage à l'immensité du monde.»
Pour Néo-Romance, la pianiste et compositrice Alexandra Stréliski s’est posé une question. Fascinée par le romantisme, les romantiques et leur relation «super sombre» avec la nature, elle s’est demandé ce que tout cela signifiait dans ce monde moderne que nous avons créé. «Le passé, la liberté sans restriction, le dévouement à la beauté — tous ces grands thèmes romantiques, mais exprimés de façon post-moderne», explique-t-elle. «Comment peut-on demeurer dans cet imaginaire malgré l’époque de peur et de désillusion dans laquelle on vit? C’est la prémisse et le contexte de l’album.»
Le sujet abordé dans Néo-Romance n’était pas la seule différence avec le modus operandi habituel de Stréliski. Cette dernière souhaitait prendre ses distances avec le mouvement néo-classique auquel elle était associée depuis longtemps, considérant que cela ne reflétait pas exactement son œuvre. L’expression individuelle en dépit des contraintes de la tradition, une idée prisée par les romantiques, l’a inspirée à suivre son instinct et à s’efforcer de capturer et transmettre des émotions à travers son art. «Je suis vraiment une romantique, dans le sens où j’exprime mon monde intérieur afin de mieux comprendre le monde qui m’entoure», confie-t-elle. «Alors je me concentre sur l’idée du néo-romantisme musicalement, mais aussi en tant que forme de méditation.»
Pour la première fois, elle s’est rendue en Europe pour composer et enregistrer, en plus de travailler avec plusieurs nouveaux musiciens et collaborateurs. Elle a par ailleurs exploré son passé familial, «suivant ses racines», dans ses propres mots. Néo-Romance a principalement été composé à Rotterdam, où Stréliski a emménagé avec sa partenaire. Par le fait même, elle a découvert des choses étonnantes à propos de son propre passé. Elle a visité des résidences où des membres de sa famille ont jadis vécu à Amsterdam, puis dans une bibliothèque de Paris, elle a trouvé des compositions de ses ancêtres, des professeurs et des compositeurs de l’ère romantique.
«Mon père est Français et ma famille a des origines juives polonaises. Je me suis retrouvée exactement où ils vécurent autrefois. J’ai toujours cru que j’étais la seule musicienne dans ma famille immédiate, que j’étais cette artiste bizarre. Or, il s’avère que mes ancêtres étaient tous des metteurs en scène, des violonistes, des gérants de théâtre… Plusieurs des femmes étaient des actrices. Découvrir cette histoire qui m’était inconnue a ouvert des pistes de réflexion par rapport à mon identité. Je me suis demandé : “Quelle est ma provenance? La musique se transmet-elle à travers les générations? Quelle est l’implication dans ma vie actuelle?”»
La musique d’Alexandra Stréliski, c’est plus de trois cent trente millions d’écoutes en continu à travers le monde. Inscape, c’est plus de cent soixante-huit mille albums vendus et écoutés au Canada seulement, une certification double platine, cinq Félix en carrière et un prix JUNO (Album instrumental de l’année). C’est aussi l’un des trois meilleurs vendeurs de l’année 2019 et 2020 au Québec, récipiendaire de l’album de l’année au Independent Music Awards et nommé sur la longue liste du prestigieux Prix de Musique Polaris 2019. Ses pièces ont été entendues dans Sharp Objects et la table ronde de Big Little Lies Season 2 de HBO, ainsi qu’au défilé d’Hugo Boss au New York Fashion Week. L’album a grimpé sur les palmarès de ventes de musique classique dans plus de vingt pays à travers le monde. Le spectacle Inscape a reçu un billet d’argent de l’ADISQ et a vendu plus de quarante mille billets à travers la province. Pianoscope - le premier opus de Stréliski est certifié or au Canada et ses pièces ont été entendues dans Dallas Buyers Club, Demolition et à la cérémonie des Oscars en 2014.
Billboard a décrit Stréliski comme l’une des plus importantes nouvelles vedettes du classique moderne et Noisey a déclaré que sa musique est un contraste de profondeur et de fragilité qui ressemble étrangement à la condition humaine elle-même.
«The hills est une pièce qui parle des aléas de notre condition humaine. Elle parle de notre désir d’évoluer, de s’émanciper et de se sentir en paix avec le monde, avec tout ce qu’il a de contradictoire. Je l’ai composée d'un trait suite au décès de quelqu’un que j’aimais. Comme si j’essayais de réconcilier la grandeur de cette perte avec la beauté de la vie qui avait été là.» - Alexandra Stréliski
Quatre ans après la sortie de l’immense album Inscape certifié platine au Canada, Alexandra Stréliski annonce une toute nouvelle chanson intitulée «The hills», disponible sur les plateformes d’écoutes. La pièce se retrouvera sur un nouvel album à paraître en 2023. Pour cette nouvelle offrande, l’album sera disponible au Canada via Secret City Records et XXIM Records/Sony Masterworks dans le reste du monde.
À l’approche du temps des Fêtes, Alexandra Stréliski est ravie de partager sa propre version d’un classique de Noël : «Silent Night» dans le cadre de Spotify Singles: Holiday Collection. La reprise a été enregistrée à Montréal à son studio La Majeure. Il s’agit de la première artiste néoclassique à participer à l’édition du temps des Fêtes. Les artistes ayant participé à cette initiative de Spotify par le passé incluent Norah Jones, Jack Johnson, Miley Cyrus, John Legend et Sam Smith pour n’en nommer que quelques-uns. L’édition 2021 marque la cinquième année de Spotify Singles: Holiday et inclut un vaste éventail de reprises et de pièces originales, enregistrées par des artistes couvrant une myriade de genres, afin de permettre aux amis et aux familles d’entre en contact à distance par l’entremise de la musique.
«J’ai choisi “Silent Night”, car c’est une chanson douce, pure, réconfortante. Et que Noël vous rende joyeux ou mélancolique, on a tous besoin d’un peu plus de réconfort durant le temps des Fêtes.» - Alexandra Stréliski
Cliquez ici pour écouter «Silent Night» par Alexandra Stréliski.
Huit ans après la sortie indépendante de Pianoscope, disque encensé par la critique et baptisé un bijou de volupté (Voir) qui a touché les mélomanes du monde entier (L’Express), Alexandra Stréliski est ravie d’annoncer Inscape, son nouvel album empreint d’une sincérité poignante.
Le premier extrait Plus tôt et son vidéoclip ont été dévoilés en primeur avec le Voir. Stréliski explique que c’est une pièce qui évoque l’espace-temps où nous nous trouvons avant que les choses nous arrivent. Le calme que l’on ressent lorsqu’on ne sait pas que certains événements s’apprêtent à nous changer. C’est le début de l’Inscape. Edith Jorisch, la réalisatrice du vidéoclip, partage quant à elle son inspiration créative : C’est une exploration de la place de l’homme dans l’univers, son rapport à ce qui l’entoure, à lui-même : au plus petit comme au plus grand, au tangible et à l’intangible. Qu’arrive-t-il quand tout se confond?
Enregistré à l’automne 2017 au Studio PM à Montréal, Inscape se dévoile comme l’œuvre d’une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s’inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Réalisé par Alexandra Stréliski elle-même et Maxime Navert (qui a également co-produit Pianoscope), l’enjeu a été de créer une pulsion créatrice qui s’engage à ramener l’auditeur vers une sincérité égarée : Un piano, seul, c’est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur, explique Alexandra.
Pour moi, confie Stréliski, l’Inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j’ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir.
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n’a rien d’une pianiste conventionnelle. Elle crée une musique qui fait vibrer l’auditeur émotionnellement, emplissant l’esprit de riches images cinématographiques. Artiste d’origine juive polonaise, ayant grandi entre Paris et Montréal, Stréliski a fait ses débuts avec son album Pianoscope sorti en 2010. Elle a d’ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l’acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (HBO, 2017). Appuyée par le coup de cœur mentionné plus haut de Jean-Marc Vallée, qui permet à la musique de Stréliski de retentir en direct lors de la cérémonie des Oscars en 2014, la pianiste bénéficie d’une vitrine stellaire faisant bondir à près de quinze millions les écoutes en continu à travers les différentes plateformes numériques. Elle se produit à guichet fermé lors de plusieurs concerts au Festival International de Jazz de Montréal et le journal britannique The Telegraph encense d’ailleurs la créatrice, parlant d’un premier album sensible, mélancolique et lumineux.
Alexandra Stréliski est ravie de partager le vidéoclip pour Changing Winds, le plus récent extrait d’Inscape, son nouvel album. Réalisé par Vincent René-Lortie, le vidéoclip est inspiré du sentiment d’être enfermé dans une boîte. Nous avons tous ressenti ce sentiment d’être prisonnier des règles à suivre, comme si nous étions tous destinés à devenir la même personne. Dans ces boîtes, illustrées ici comme des tours à appartements, d’innombrables personnes ont bâti leurs maisons, mais elles ont de la difficulté à connecter entre elles. Avec une histoire simple, j’ai tenté de dépeindre ce moment de compréhension, lorsque l’artiste réalise qu’elle a deux choix : soit accepter ou détruire ces quatre murs. Changing Winds est un état de désir et une peur du changement. C’est l’origine d’une explosion, explique Vincent.
La chanson elle-même a été inspirée à la fois par Satie et John Cage, et évoque une atmosphère très intimiste, raconte Alexandra. C’est la pièce où les choses commencent à tranquillement changer pour moi, mais je garde ça pour moi. Nous l’avons enregistré sur un vieux Steinway droit, avec les deux pédales douces.
Le tout nouvel album d’Alexandra Stréliski, Inscape, est maintenant disponible partout. Après que des extraits de l’album aient reçu une immense visibilité cet été grâce à la minisérie de HBO Sharp Objects, réalisée par Jean-Marc Vallée, l’album complet est maintenant disponible et se démarque parmi les albums de piano solo récents selon Exclaim!, qui lui décerne une note de 8/10 et conclut en affirmant que Inscape est un puissant regard vers un nouveau paysage néoclassique, alors que Le Devoir estime que le disque ne comporte pas une note en trop. Les deux premiers extraits de l’album cumulent déjà plus de 5,5 millions d’écoutes sur les différentes plateformes en ligne.
Noisey dévoile en primeur le vidéoclip pour la pièce “Overturn”. La réalisatrice Edith Jorisch explique que son processus créatif était basé sur l’inspiration de la chanson d’Alexandra : Le vidéoclip dépeint ce moment où après une période de noirceur, on aperçoit une lueur au loin et on s’y dirige maladroitement. J’ai ainsi voulu évoquer la capacité de résistance de l’humain face aux pires chocs : cet état de post-tempête. Alexandra décrit sa chanson comme un moment charnière : où tu es affectée et blessée, mais où tu commences timidement à reconstruire. La mélodie raconte d’abord ce qui s’est passé précédemment, puis la seconde partie regarde vers l’avenir.
C’est le 4 juillet 2020 que Secret City Records a remis à la pianiste montréalaise Alexandra Stréliski un disque d’or à l’émission matinale Salut Bonjour pour souligner les quarante mille copies vendues de son plus récent opus, Inscape. Écrit et enregistré en toute intimité, alors que les jours les plus sombres de son burnout étaient enfin derrière elle - cet album a touché la province toute entière et résonné un peu partout à travers le monde. De la publication de ses premières compositions autoproduites sur la plateforme Bandcamp en 2010 à sa performance dans le cadre du Festival International de Jazz de Montréal dans un Théâtre Maisonneuve plein à craquer, Alexandra a vu sa carrière se métamorphoser, nourrie par l’amour du public.
Inscape, c’est plus de cinquante-deux millions d’écoutes en continu à travers le monde, quarante mille albums vendus au Canada seulement, #1 des ventes au Québec les deux premières semaines de sa sortie, gagnant de l’album de l’année au Independent Music Awards, nommé sur la longue liste du Prix de Musique Polaris 2019, ses pièces dans Sharp Objects et la table ronde de Big Little Lies Season 2 de HBO, ainsi qu’au défilé d’Hugo Boss lors de la dernière édition de New York Fashion Week. Plus de soixante-dix concerts sont inscrits au calendrier depuis le début de la campagne et tous les derniers spectacles au Québec ont affiché complet.
Alexandra Stréliski dévoile un vidéoclip immersif et tridimensionnel pour la pièce «Burnout Fugue», qui figure sur son plus récent disque certifié platine au Canada, Inscape. Pour la réalisatrice Marcella Grimaux, la création du vidéoclip fut un travail colossal qui aura duré plus de six mois. Marcella nous partage sa démarche créative : «Burnout Fugue» commence dans un corridor sombre, au loin d'autres passages, d’autres univers. Le voyage est une métaphore pour le labyrinthe qu’est notre conscience, nos émotions, nos mémoires inspiré par la musique d’Alexandra.
Alexandra ajoute : Le vidéoclip de «Burnout Fugue» est un essai sur le confinement. Un voyage graphique inspiré de l’architecture interne d’un piano, mais qui évoque symboliquement l'introspection, le besoin de sortir de soi, de se révolter et d’avancer vers la lumière dans un moment d’obscurité intérieure.
La pianiste participe également à deux projets immersifs cet hiver, «Asteria» et «OASIS immersion». Dans «Asteria», il sera possible de s'immerger dans le vidéoclip de «Burnout Fugue» grâce à la réalité virtuelle. «Asteria», c’est un véritable voyage musical en mode réalité virtuelle dans l’univers d’Alexandra Stréliski, de Vincent Vallières, de Dominique Fils-Aimé, de Fouki et de Daniel Bélanger. Présenté dans plusieurs villes du Québec dès que la pandémie le permettra, "Asteria" offre une chance unique de découvrir les univers immersifs et enivrants de ces artistes par l’entremise de casques de réalité virtuelle. Alexandra confie : La réalité virtuelle est une technologie qui n’est pas nouvelle dans le monde, mais qui est encore peu exploitée en musique. Pourtant, si c’est bien fait, c’est un vecteur direct vers le cœur des gens. Il y a une proximité qui s’installe qui est bien plus grande que celle qu’on a lorsqu’on regarde quelque chose sur un écran. L’idée était de faire ça avec le plus de transparence possible, pour que la technologie soit un vecteur direct vers l’émotion et qu’en dépit de son caractère moderne, elle nous serve tout simplement, à nous rapprocher.
«OASIS immersion» présente, au Palais des congrès de Montréal, des expositions déambulatoires et sans contact propulsées par des projecteurs au laser et des centaines d’haut-parleurs avec système audio ambiophonique. L’expérience immersive met en vedette Alexandra Stréliski et l'astronaute David Saint-Jacques.
Billboard a décrit Stréliski comme l’une des plus importantes nouvelles vedettes du classique moderne et Noisey a déclaré que sa musique est un contraste de profondeur et de fragilité qui ressemble étrangement à la condition humaine elle-même.
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