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Dans sa septième année!
Mise à jour: 31 janvier 2023
Il faut s'accorder, un deuxième extrait

Daniel Bélanger partage aux radios de la province son deuxième extrait officiel : «Il faut s’accorder», tiré de l’album «Mercure en mai», sorti en octobre 2022 via Secret City Records. Il partage également un vidéo pour la pièce réalisé par Antoine Dasseville. Le deuxième extrait fait suite au succès «J’entends tout ce qui joue (dans ta tête)», qui a enflammé la province à l'automne 2022, autant sur les ondes que sur les médias sociaux, alors que Daniel se joignait à la communauté Tik Tok pour la toute première fois.

Je me crée une toute petite

Toute petite Californie

Il faut s’accorder en genre et en nombre

Même dégenré, même dénombré

Il faut s’accorder

L’album «Mercure en mai» fut encensé par la critique et le public, en plus d’être l'album francophone #1 des ventes au Québec durant trois semaines lors de sa sortie. En un peu plus de trois mois, il cumule déjà plus de dix mille copies vendues et se maintient dans le Top 5 des meilleurs vendeurs au Québec. «Mercure en mai» s’est retrouvé parmi les meilleurs albums de l’année 2022 du journal Le Devoir et du Journal de Québec.

Daniel Bélanger a également fait paraître un recueil de poésie intitulé «Poids lourds» aux éditions des Herbes rouges à l’automne 2022.

On pourrait dire que chacun des dix titres de Mercure en mai provient d’un hasard, comme un fruit de l’inattendu. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces « petites Californies » qui dorment au fond de nous, des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets : tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.

Il faut s'accorder, un nouvel extrait

L’album tant attendu de Daniel Bélanger, «Mercure en mai», est disponible partout depuis le 14 octobre 2022 via Secret City Records. Aujourd’hui, Daniel dévoile un dernier extrait, la pièce «Il faut s’accorder».

«Je me crée une toute petite

Toute petite Californie

Il faut s’accorder en genre et en nombre

Même dégenré, même dénombré

Il faut s’accorder»

Le premier extrait «J’entends tout ce qui joue (dans ta tête)» enflamme la province depuis sa sortie fin août 2022! La pièce a été #1 des ventes des chansons francophones deux semaines d’affilée et l’extrait est toujours en réaction forte au palmarès BDS. L’extrait poignant «Dormir dans l’auto» est disponible depuis le 22 septembre 2022 sur les plateformes numériques.

Daniel Bélanger vient également de faire paraître un recueil de poésie intitulé «Poids lourds» aux éditions des Herbes rouges.

Dormir dans l'auto
une deuxième chanson de son nouvel album

L’auteur-compositeur-interprète Daniel Bélanger dévoile une deuxième chanson de son nouvel album à paraître intitulé «Dormir dans l’auto». «Mercure en mai», le dixième disque de l’artiste sera disponible dès le 14 octobre 2022 via Secret City Records. C’est une pièce qui chante l’instabilité forcée; «La vie est belle mais parfois rude», nous chante Daniel Bélanger.

Le premier extrait «J’entends tout ce qui joue (dans ta tête)» enflamme la province depuis sa sortie fin août 2022! La pièce est #1 des ventes des chansons francophones depuis deux semaines et l’extrait était la réaction forte au palmarès BDS.

Daniel Bélanger vient également de faire paraître un recueil de poésie intitulé «Poids lourds» aux éditions des Herbes rouges, disponible ICI.

Par une froide matinée de février 2021, au cœur de la énième vague pandémique, Daniel Bélanger déambulait sur une rue du quartier Mile-Ex. Les mains au fond des poches, la tête dans les épaules, il était perplexe devant les mille et une conséquences de l’urgence sanitaire et en particulier devant l’impossibilité de s’asseoir au chaud dans un café, comme il aime tant le faire.

Après un arrêt à un comptoir où il a ses habitudes, où il venait de commander un latte pour emporter, il a reconnu quelqu’un parmi un petit groupe de badauds agglutinés autour d’un banc public. Salutations, présentation aux uns et aux autres, début de discussion  : Daniel Bélanger ne le savait pas encore, mais il venait de se faire de véritables amis, avec qui, à coup d’échanges autour d’un gobelet fumant, il a traversé les semaines de confinement qui s’amorçaient.

On pourrait dire que chacun des dix titres de Mercure en mai provient d’un tel hasard, comme un fruit de l’inattendu. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces « petites Californies » qui dorment au fond de nous; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets  : tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.

À ses côtés, une équipe légère formée de Guillaume Doiron (basse) et Robbie Kuster (batterie), qui ont fait quelques arrêts au studio de Daniel avant que Pierre Girard n’assure le mixage de ce Mercure en mai hypnotisant, la bouffée d’oxygène dont nous avions toutes et tous besoin.

J'entends tout ce qui joue (dans ta tête)
un premier extrait du nouvel album Mercure en mai

L’auteur-compositeur-interprète Daniel Bélanger annonce un tout nouvel album intitulé «Mercure en mai», disponible le 14 octobre 2022 via Secret City Records. Quelques secondes du premier extrait «J’entends tout ce qui joue (dans ta tête)» ont été dévoilés par Daniel lui-même via ses réseaux sociaux. En moins d’une semaine, l’extrait a été écouté plus de cent mille fois avant même sa sortie officielle. La chanson est disponible dès maintenant dans son entièreté sur toutes les plateformes d’écoutes.

Par une froide matinée de février 2021, au cœur de la énième vague pandémique, Daniel Bélanger déambulait sur une rue du quartier Mile-Ex. Les mains au fond des poches, la tête dans les épaules, il était perplexe devant les mille et une conséquences de l’urgence sanitaire et en particulier devant l’impossibilité de s’asseoir au chaud dans un café, comme il aime tant le faire.

Après un arrêt à un comptoir où il a ses habitudes, où il venait de commander un latte pour emporter, il a reconnu quelqu’un parmi un petit groupe de badauds agglutinés autour d’un banc public. Salutations, présentation aux uns et aux autres, début de discussion : Daniel Bélanger ne le savait pas encore, mais il venait de se faire de véritables amis, avec qui, à coup d’échanges autour d’un gobelet fumant, il a traversé les semaines de confinement qui s’amorçaient.

On pourrait dire que chacun des dix titres de Mercure en mai provient d’un tel hasard, comme un fruit de l’inattendu. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces « petites Californies » qui dorment au fond de nous; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets : tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.

À ses côtés, une équipe légère formée de Guillaume Doiron (basse) et Robbie Kuster (batterie), qui ont fait quelques arrêts au studio de Daniel avant que Pierre Girard n’assure le mixage de ce Mercure en mai hypnotisant, la bouffée d’oxygène dont nous avions toutes et tous besoin.

Daniel Bélanger n’a plus besoin de présentation. Un auteur-compositeur-interprète adoré du public avec plus de dix albums derrière lui, une multitude de Félix remportés et de Disque d’Or et de Platine attribués à son œuvre, Bélanger poursuit sa création librement. Récipiendaire du Félix pour l’album instrumental de l’année au dernier gala de l’ADISQ, le public a pu le voir lors de récents concerts dans quelques festivals cet été.

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